dimanche 8 mai 2016

Les joies de la semaine * 10

Une semaine avec deux jours de travail, c'est déjà une joie en soi !

Lundi : la reprise se passe bien au collège et je retrouve mes parents en rentrant, pour aller chercher Tout Doux. Ils reviennent d'Italie et transportent une colombe de Pâques dans leurs bagages. Miam ! Le temps passé avec eux est très agréable et le bébé est ra-vi.

Mardi : petit-déjeuner avec de la colombe ! Deux heures de cours, autant de correction et... Je suis libre ! Je canalise mon énergie à la piscine avec plaisir avant de retrouver Akroma. Le temps file !

Mercredi : la journée commence mal, mais va en s'améliorant grâce au beau temps qui me permet de pédaler jusqu'au grand parc pour aller prendre un bol d'air vert. Le printemps brille de mille feux. On secoue la fatigue et la grisaille des dernières semaines et le moral se met à l'unisson. Je respire.

Jeudi : mes parents sont de retour, avec mon frère, pour un déjeuner. Le frangin étant en béquilles, il rentre ensuite avec mon père, mais ma mère nous accompagne à la Cerisaie. Les couleurs sont un peu passées, mais les pluies de pétales sont superbes malgré le monde. Les parents nous ayant rapporté du Spritz de Toscane, nous le savourons avec plaisir !

Vendredi : la corvée de recevoir mon neveu pour travailler son épreuve d'Histoire des Arts du brevet se passe mieux que prévu. Il adore son cousin et ça se voit. Tant de tendresse chez un gamin de 14 ans, ça fait plaisir. Il ne se force pas. Après son départ, direction le parc des roses où Micro se dépense pendant que nous paressons (ok, tentons de paresser) dans les herbes hautes. Au retour, nos voisins dotés de petits jouent sur la pelouse au pied de l'immeuble et nous les rejoignons pour discuter et socialiser les Nains. Beaucoup de progrès du nôtre aujourd'hui : il a dit "oui", "merci" (bon certes, une seule fois à chaque fois) et fait un bisou pour la 1re fois.

En me lisant, je me rends compte que mes semaines se ressemblent beaucoup. Et pourtant, je ne ressens pas d'enlisement. Avec un bébé, on est assez au jour le jour. Jalon après jalon.

Samedi : un doute subit se fait jour après la n ième nuit pourrie : changement de programme et direction le médecin. Le Piou a une otite. Pourquoi le mettre dans les joies ? Parce que connaître la raison de sa mauvaise humeur nous apaise et parce que le médecin se révèle bien plus agréable que celle que nous voyons habituellement et dont la mauvaise humeur me fatigue. C'est parti pour un changement définitif.
Dimanche : Belette a répété 'oui', plusieurs fois. Il faut dire que la cuillère de mousse au chocolat s'éloignant de lui pour aider au distingo avec 'non' a fait son effet. Repas à l'Île de Crête : on nous annonce que les gyros ne seront pas prêts avant 30 minutes. Drame. Et finalement, c'est bon. Et délicieux.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire